Nous avons vécu un véritable chantage à la vaccination. Si nous n’étions pas vaccinés nous ne pouvions pas prendre le train ! Ni travailler si nous étions soignants, ou pompiers… Ce sont des situations extrêmement traumatisantes. C’est à eux, les « suspendus », exclus de notre société pendant près de vingt mois, que je verse l’intégralité de mes droits d’auteur. Et puis, de manière plus générale, je connais peu de gens qui se soient fait vacciner de gaieté de cœur : ils s’y sentaient plutôt obligés pour conserver une vie sociale, c’est mon impression.