Pour Anne-Marie Le Pourhiet, professeure de droit public à l’université Rennes 1 et vice-présidente de l’Association française de droit constitutionnel, il est juridiquement problématique de parler d’un « droit à l’avortement ».
L’inscription du droit à l’avortement dans la Constitution ouvre de nombreuses questions juridiques et modifierait les équilibres actuels, estiment des juristes.