On le voit, le tour de passe-passe du pass, c’est qu’il n’offre jamais que ce dont il vient de nous priver. Il ressemble à ces péages que les seigneurs, puis les États, faisaient partout fleurir pour vous permettre d’accéder à une route que, la veille encore, vous empruntiez sans rien devoir à qui que ce soit.