Comme archevêque de Marseille, je veux cependant croire que les consciences ne sont pas irrémédiablement endormies ou anesthésiées. Comme le Liban, cette ville est riche d’une étonnante capacité d’espérance, envers et contre tout. Tel est l’autre message de Marseille : rien n’est jamais perdu, pour peu qu’on ait du cœur !